Mises à l'eau en vidéo

1. First 18.
La pente est très douce, ceci exige une manutation vigoureuse pour renvoyer le First dans son élément. L'opération doit rester délicate de toute façon car le chef contrôle souvent que la quille reste bien sur son chemin de rouleaux. C'est un des gros avantage du Tabasco d'en être dépourvu : moins de tirant d'eau, échoue à plat naturellement, et simplifacation des manoeuvres de remorque. D'ailleur je suis surpris que ce First flotte dans si peu d'eau. Peut-être que la cale se termine brusquement après les roues de la remorque :-) (roues qui ne font qu'affleurer l'eau, bravo !).

2. Sprinto.
Cette fois ci on met à l'eau tout maté, ce qui est plus logique. On notera en arrière plan une remise sur remorque cassante (dont les essieux baignent gentiment, aïe ). Pour le Sprinto c'est une remorque non cassante et pourtant tout ce passe très bien (comme quoi !).Notez au passage qu'ici aussi seul le bas des pneus sont dans l'eau (de mer).
La vidéo n'est pas assez longue pour nous raconter si le gardien du vaisseau parvient à converver son équilibre sur son petit muret ?

3. Triptyque 28.
On change de gabarie et l'on approche certainement de la limite du transportable. La remorque est totalement immergée(Ouïe les freins !) et les manutentionneurs doivent se mouiller jusqu'à la ceinture. Mais bravo de tracter un tel morceau !

4. Bi-quille !
La méthode est radicale : on immerge totalement la remorque. Pour ne pas immerger non plus la voiture, un bout est frappé sur la remorque pour assurer une mise à l'eau en douceur et récupérer le matériel en fin de manoeuvre :-).